"Le roman ouvre sur la femme Jazya qui se souvient d’elle-même, petite fille intelligente (« Son don pour apprendre est phénoménal », p. 13), orpheline de père, au village, qui quitte sa terre natale pour sillonner le monde : d’abord Beyrouth, ensuite Paris. Adolescente déjà elle rêve, elle « nourrit une passion pour le voyage, l’exploration, le dépaysement » (p. 53)...". Un article de Karen Ferreira-Meyers