série des cinémas, grande salle vide avec un écran blanc et lumineux, comme si le projecteur était resté allumé à la fin de la séance. En réalité, la salle est pleine de monde et le film se joue. Cette illusion vient du fait que le l’obturateur a été laissé ouvert pendant toute la durée du film. l’appareil a capturé tout le film avec les spectateurs dans la salle, mais au final, seul un écran blanc et une salle vide est visible. paradoxe poétique entre vie et mouvement d’un coté